

Songs for Living / Songs for Dying
Synopsis
Dans Songs for Living, les esprits prennent littéralement corps et intègrent le monde des vivants, en Thaïlande et à divers endroits du monde, sous la narration du musicien Zsela et en une symphonie singulière. La célébration du collectif, de corps rassemblés en communion, gagne également Songs for Dying, second court-métrage où se répondent des archives personnelles de l’artiste. S’y déploie un récit qui aborde la mort et l’histoire de la Thaïlande, sous ses aspects religieux, technologiques et politiques.
Songs for Living
Les esprits retrouvent un corps et réintègrent le monde. Des tambours tonitruants, des larsens stridents et une narration mystique du musicien Zsela apportent de la chaleur à des corps humains éloignés, de la Thaïlande à New York, dans des rituels qui se réjouissent de l’existence collective.
Songs for Dying
Composé d’idées provenant de ses archives personnelles, combine l’expérience de l’acceptation de la mort et la perception de l’histoire avec des récits religieux, technologiques et politiques.
Proposé dans le cadre de la carte blanche de l’artiste Ho Tzu Nyen au MUDAM, ces deux courts-métrages de Korakrit Arunanondchai naviguent parmi différents régimes d’images, où dialoguent avec émotion mouvements sociétaux et mythologies de Thaïlande, avec un sens du rythme captivant.
Dans le cadre de la carte blanche de l’artiste Ho Tzu Nyen au MUDAM.

Séances
Bande annonce et photos
Korakrit ARUNANONDCHAI


Korakrit Arunanondchai a quitté Bangkok pour effectuer ses études à l’École de design de Rhode Island (2009) et à l’Université de Columbia (2012). Après de nombreuses participations à des expositions collectives (Sculpture Center, New York ; ICA, Londres), Korakrit Arunanondchai a conçu des expositions personnelles notamment au MoMA PS1 (New York, 2014) ou à The Mistake Room (Los Angeles, 2014). Il est représenté par les galeries Clearing (New York, Bruxelles) et Carlos/Ishikawa (Londres).
Korakrit Arunanondchai s’intéresse au bouddhisme et à l’animisme thaïlandais, autant qu’à la culture populaire, la géopolitique et la technologie, afin d’interroger ce que signifie être un artiste aujourd’hui. Ce faisant, son travail célèbre la connectivité numérique, la fusion entre l’art et la vie, l’imagination et la réalité, la science et l’incorporel